Copywriter en 60 minutes chrono ?

Depuis 15 jours, j’ai commencé à coacher une amie qui vit au Bénin.

Elle a un objectif très intéressant qui ressemble à un challenge.

Et j’aime ça !

Le voici:

Travailler 1 jour par semaine.

Cet objectif ?

Atteignable rapidement au Bénin (le coût de la vie est très loin de celui de la France).

Parce que le temps presse et qu’elle souhaite se lancer dans les semaines qui viennent (disons, dans 1 mois ou deux), j’ai décidé de relever le défi.

Ce qui est drôle ?

J’ai autant appris qu’elle durant nos deux premières séances.

Avec un délai aussi court et une masse d’information à connaître, j’ai dû faire le tri dans mes connaissances. Pour finalement ne garder que ce qui est essentiel à ses progrès.

Je me suis posé quelques heures et j’ai fait le point sur les méthodes que j’avais plus ou moins élaborées ces dernières années.

J’ai gardé le plus pertinent.

La première séance de coaching à duré 60 minutes.

Moi qui parle beaucoup, j’étais plutôt surpris.

Ce qui m’a encore plus surpris ?

Mon amie n’avait pas de questions.

Tout lui semblait clair.

Chaque séance se termine par un exercice à faire pour la semaine d’après. Histoire de passer de la théorie à la pratique et de vérifier que tout a bien été compris.

La semaine suivante on commence par corriger les exercices et on poursuit avec la partie suivante etc.

Et ce que j’ai vu lors du premier exercice m’a laissé sans voix.

Mon amie n’est pas vendeuse, n’en a jamais fait et n’aime pas spécialement ça.

Et lorsque j’ai lu ce qu’elle avait fait, je croyais qu’elle avait déjà fait du copywriting.

Donc oui, je garde cette méthode de coaching pour se lancer dans le copywriting en quelques semaines. Parce qu’en à peine 4 à 5 séances elle pourra se lancer dans ses premières missions.

Cette méthode ?

Simple comme vous pouvez le voir.

On va à l’essentiel sans superflu, en procédant étape par étape.

Dans la première séance on débute par la matière première du copywriter : récolter les caractéristiques.

Une fois les ingrédients récoltés, il ne reste plus qu’à les répartir dans une structure de page universelle. Cette structure est incroyable. Elle fonctionne pour tous types de pages y compris un accueil, une page produit, une page de vente et même des articles de blog.

Ce côté tout-terrain, je l’ai réalisé il y a seulement quelques jours.

Ça m’a tellement perturbé que j’ai dû sortir du bureau et marcher.

Doudou m’a demandé pourquoi je faisais les 100 pas entre le salon et la cuisine.

Tout se mettait en place dans ma tête.

J’ai dit à Doudou que la structure que j’avais décrypté était probablement quelque chose d’inédit.

Applicable à toutes les pages d’un site et à n’importe quel projet.

Elle est trop facile à comprendre.

Parce qu’une fois que vous avez la matière première nécessaire à la rédaction de votre copywriting, la structure universelle vous permet d’écrire presque sans effort votre copie.

Quoi qu’il en soit, je ne manquerais pas de vous tenir informé sur l’avancée de cette méthode pour se lancer dans le copywriting en un temps record. Mais aussi sur les progrès de mon amie.

Pour en savoir un peu plus sur la découverte de cette structure universelle, tout se trouve sur le guide gratuit publié il y a quelques temps.

Passez une belle journée,

Julien

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Selon la revue Scientific American, la lecture sur des écrans « provoque une plus grande fatigue mentale et il est plus difficile de se souvenir de ce qu’on a lu. » D’autres experts ont observé que les personnes qui lisent sur papier mémorisent mieux. Voilà pourquoi, chaque mois je publie au format imprimé une lettre regroupant 3 chroniques inédites qui ne sont pas publiées sur le site. C’est un moyen efficace pour retenir et appliquer ce que vous apprenez 🙂