Une livraison de copywriting qui a réveillé une foule de souvenirs
La semaine dernière, j’ai eu la joie de livrer un copywriting traditionnel.
Quand je dis « traditionnel », je pense à un bon vieux copywriting diffusé sur une page blanche avec, éventuellement, quelques photos.
La force des mots en action.
Comment se passe la livraison d’un copywriting ?
Je pourrais me contenter de livrer simplement le texte en envoyant le lien du Google Doc par e-mail. Je l’ai fait pendant des années. Parfois il m’arrivait d’y joindre un vocal pour expliquer mes choix.
Mais, depuis bientôt un an, je m’y prends différemment : je lis le copywriting à voix haute durant un appel visio.
J’appelle ça la livraison vivante.
Quoi qu’il en soit, cette livraison a réveillé une foule de souvenirs qui m’ont rappelé les bases du métier de copywriter. Mais aussi… La force du copywriting, de l’écriture persuasive, comme on pourrait dire en français. Même si, au fond de moi, j‘aimerais que l’on parle simplement de communication écrite. Après tout, quand on écrit à quelqu’un, c’est que l’on a un message à transmettre, une idée ou que l’on souhaite que la personne fasse une certaine action à l’issue de sa lecture.
Bref, je m’égare.
Ces souvenirs ?
Mes débuts dans le copywriting.
Durant des années, j’envoyais un email par jour à une petite liste d’abonnés.
J’écrivais des pages de vente pour des clients.
Page de vente qui était mise en ligne sur fond blanc.
Sans design.
Mais ça vendait.
Certaines d’entre elles vendaient très bien même.
Aujourd’hui ?
Quasi la totalité des sites internet sont beaux.
Ils sont tous lisses.
« Immaculé », comme on aurait dit dans les années 50.
À ça vous y rajoutez de l’IA et vous obtenez un résultat si propre qu’on se demande si ce sont encore des humains derrière tout ça.
Une fois j’ai lu une phrase qui m’a fait sourire : « Dans un monde où tout est beau, le moche se remarque. »
L'objectif du marketing est justement de se démarquer.
Je vous laisse y réfléchir.
Quoi qu'il en soit, discuter avec mes clients lors de la livraison du copywriting m’as fait un bien fou.
Généralement, ce sont des sujets qui passionnent uniquement les copywriters. Mais là… Entendre des personnes plus jeunes que moi expliquer qu’ils ont constaté à quel point un texte humain présenté sous sa forme la plus pure peut produire des résultats stupéfiants m’a rappelé les bases du copywriting dont je vous parlais à l’instant.
L’évolution des plateformes et des technologies dresse un écran de fumée devant nos yeux.
Mais quand on y réfléchit un instant…
La base est toujours là.
Un message.
Deux personnes.
De la confiance.
Un échange.
La communication est si importante dans notre société que l’on ne compte plus les plateformes qui exploitent le filon.
Substack, par exemple, est génial.
Elle nous prouve, à l’ère du contenu court, que le contenu long nous intéresse toujours.
C’est rassurant.
Mais on reste sur le principe du post qui est diffusé à un groupe de personnes plus qu’à un individu. L’ajout du fil d’actualité nous fait rentrer dans cette boucle infernale du contenu infini. Chose que l’on cherche à fuir en quittant les plateformes de réseaux sociaux classiques.
Chacun fait ce qu’il veut et je ne suis pas là pour condamner qui que ce soit et encore moins pour imposer ma vision des choses.
Tout ça pour vous dire que j’ai eu envie de retrouver la joie d’écrire et envoyer des newsletters sous sa forme la plus simple.
Avec juste du texte.
Éventuellement, quelques photos lorsque c’est nécessaire.
Pas de plateforme avec des likes et des commentaires.
Juste un contenu envoyé sous sa forme la plus brute.
Si le cœur vous en dit, vous pourrez répondre et partager votre avis ou encore poser vos questions. Il vous suffit alors de cliquer sur le bouton « répondre » et de m’envoyer un e-mail en retour.
Ce sera des contenus simples, sans chichi, sans introduction qui vous rappelle qui je suis et tout ça. Pas besoin, car, après tout, en étant abonné c’est que vous savez déjà qui je suis.
Dans les prochains jours, je commence l’écriture et l’envoi de ces courtes newsletters quotidiennes.
Certaines seront peut-être un peu plus longues (tout dépendra de mon humeur du moment).
Je parlerais de marketing direct et de copywriting.
Pour ne pas manquer la première ?
En fait, je vais transférer ma liste d'abonnés Substack sur ma nouvelle plateforme. J'écarterais les contacts qui n'ont pas ouvert une de mes newsletters depuis un moment pour garder une liste de qualité. Toutefois, si vous voyez ce texte beaucoup plus tard que vous n'avez plus de mes nouvelles (et que je vous manque), rendez-vous simplement sur mon site personnel juliengodart.fr pour vous inscrire à nouveau.
Mon nom de domaine sera connecté dans les jours qui viennent.
J’espère que la suite de l’aventure vous plaira.
Et surtout…
Vous aidera à vendre toujours plus efficacement vos produits et services à la seule force des mots.
Passez une belle journée,
Julien